Essai Lexus RCF : Transformer - Automotiv Press
Cette RCF , je la découvre au siège français de la marque, dans le parking. Déjà la ligne générale est plutôt réussie, faisant presque passer cette auto de 4m70 de long pour une petite voiture. Mais si on rajoute la gueule de squale avec la calandre en sablier et les feux au design ultra-travaillé, on se retrouve vite avec la bouche béante devant la bête. Et contrairement aux premiums allemands, la Lexus offre de plus l’avantage de l’exotisme, là où ses concurrentes semblent toujours déjà vues à chaque coin de rue, même si c’est dans une version diesel basique. Dans le genre, la RCF reste cependant mieux lotie que sa petite sœur la Toyota GT86. Le tableau de bord est très épuré. Autant le design général est simple, fait de surfaces lisses et planes assez modernes, autant la profusion de boutons et autres éléments plus ou moins décoratifs (telle la montre façon Maserati ) chargent un peu l’ensemble. Mention spéciale aux barettes verticales de chaque côté des commandes de climatisation sur la console centrale : elles permettent de régler la température tactilement avec style. Dernier point sur l’habitacle : si la qualité des matériaux est globalement bonne, il faut tout de même noter que la tension du cuir n’est pas homogène sur l’ensemble de l’accastillage. Source: www.automotivpress.fr